Guillaume de Lorris, Scève, Mme de Sévigné, Rousseau, Musset, Gide
Le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris ; Délie de Maurice Scève ; les lettres de l’année 1671 de Mme de Sévigné ; Les Confessions (livre I à VI) de Rousseau ; On ne badine pas avec l’amour, Il ne faut jurer de rien et Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée de Musset ; Les Faux-monnayeurs de Gide
Avant-propos
Catherine Fromilhague
GUILLAUME DE LORRIS
Fabienne Pomel
Quand « robe » rime avec « lobe » et « gobe » : enjeux du lexique des parures et semblances chez Guillaume de Lorris
SCÈVE
Xavier Bonnier
« En si doubteuses lisses » : la poétique de l’entre-deux dans Délie de Scève
MME DE SÉVIGNÉ
Cécile Lignereux
Les modulations des aveux de tendresse dans les lettres de 1671 à Mme de Grignan
Laure Depretto
Y a-t-il un « côté Dostoïevski de Mme de Sévigné » ?
ROUSSEAU
Frédéric Calas
Présentation de soi : élaboration de l’ethos et processus perceptuels
dans Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau
Isabelle Chanteloube
Rousseau et la présentation de soi dans Les Confessions : une scénographie de la transparence
MUSSET
Esther Pinon
« Par Pollux et par Dieu » : jurons, jurements et blasphèmes dans On ne
badine pas avec l’amour, Il ne faut jurer de rien et Il faut qu’une porte soit
ouverte ou fermée
Sylvain Ledda
Musset et le proverbe. Écriture et structure
GIDE
François Bompaire
Sotie, ratage et réinvention du roman dans Les Faux-monnayeurs d’André Gide
Françoise Rullier-Theuret
L’ambiguïté narrative dans Les Faux-monnayeurs : dénégations romanesques et construction téléologique
Bibliographie